Cratopus somptuosus est un petit charançon endémique de l’île.
Il est inféodé aux forêts endémiques non dégradées des Hauts de l’île. On le rencontre facilement dans la végétation.
Cratopus somptuosus est un petit charançon endémique de l’île.
Il est inféodé aux forêts endémiques non dégradées des Hauts de l’île. On le rencontre facilement dans la végétation.
Aux Comores (Mayotte incluse), il existe 7 espèces de Phelsuma dont 5 sont endémiques.
Phelsuma v-nigra v-nigra se retrouve sur Mohéli et sur la Grande Comore où il est très fréquent dans les Bas. On le croise dans les jardins, dans la végétation.
Une sous-espèce « comoraegrandis » pourrait exister, mais son existence est controversée.
Par contre, je cherche toujours le pourquoi du v-nigra…
Cette espèce d’orchidée se rencontre plutôt en altitude au-dessus de 700m. Elle est terrestre mais peut être également épiphyte.
Elle est en ce moment en pleine floraison.
Elle est particulièrement abondante (sur les secteurs adaptés) le long d’un sentier fabuleux que je vous recommande particulièrement : la montée de Grand Galet (Rivière Langevin, Saint-Joseph) à la Plaine des Sables.
Mis à part une heure dans les filaos jusqu’à un petit plateau au-dessus de Cap Blanc, on s’immerge très vite dans des bois de couleurs particulièrement beaux. L’étagement de la végétation est remarquable au fur et à mesure de la montée : de la forêt aux coulées de lave. Plus que magique !
p.s. La rando est quand même difficile. 23 km pour 1850m de D+… Mais bon, on voit tellement de belles choses…
Ce scinque, Mabuya comorensis, est présent sur les quatre îles des Comores. C’est vraisemblablement le reptile le plus abondant.
Il n’est pas particulièrement farouche. Sur la Grande Comore et particulièrement à Moroni, il pourrait être menacé par l’agame des colons, lézard nouvellement installé en provenance d’Afrique continentale.
L’île de Mohéli est une des quatre îles de l’archipel des Comores et une des 3 îles de la République Fédérale Islamique des Comores (la quatrième c’est Mayotte).
Le niveau de développement est plutôt faible et cahotique. Bref.
Acrea lia est un joli petit papillon toxique de la sous-famille des Acreidae (famille des Nymphalidae). Il vole très doucement et a les ailes antérieures hyalines.
J’ai fait un peu le voyeur dans le citronnier dans lequel ils s’accouplaient. La femelle est à droite.
La photo a été prise dans le jardin de la pension « Chez Akmal » à Fomboni. C’est un endroit très simple où on peut manger des langoustes et regarder plein de matches de foot !
Cela fait quelques semaines que le blog avait été complètement délaissé. La faute à un déménagement et à l’installation d’internet qui a pris plus de temps que prévu. Comme je m’interdis de publier des articles sur mon temps professionnel… Dont acte.
Depuis début septembre, les limicoles migrateurs ont réapparu. Le panel d’espèce est toujours le même, mais les quantités respectives varient selon les années.
Le tournepierre à collier fait toujours plaisir à voir. Je ne me souviens pas l’avoir beaucoup croisé l’année dernière. En tout cas, en ce moment, quelques individus fréquentent les rares mares du littoral du Sud.
Tout est dans le titre 🙂
C’est quand même une orchidée à la taille assez impressionnante. Ce pied d’A. eburneum était en début de floraison.
L’abeille domestique que l’on croise à la Réunion est la sous-espèce malgache : Apis mellifera unicolor. On ne sait pas vraiment si cette abeille était là avant la présence de l’homme (espèce indigène) ou si elle a été introduite (espèce exogène). Les témoignages divergent… On va alors parler d’espèce cryptogène.
C’est une abeille plutôt douce qui s’adapte parfaitement aux différents micro-climats de l’île (117 pour info 😉 ). Elle butine aussi bien les pieds de bois endémiques que les plantes introduites comme les letchis ou le baie-rose (faux poivrier).
Contrairement à toutes ses cousines d’un peu partout sur la planète, elle est très peu exposée aux pollutions chimiques et aux agents pathogènes majeurs comme le Varroa par exemple. La conjonction de ces différents facteurs conduit au syndrome d’effondrement des colonies (Colony Collapse Disorder en anglais) : les abeilles meurent en masse. Ce phénomène est complètement inconnu sur l’île !
Quand les démoustications ne sont pas faites n’importe comment, l’île de la Réunion est un véritable petit paradis pour les abeilles. Entre autres.
C’était ce soir du côté de la piscine de Manapany.
Il semblait y avoir un peu de houle au large, puisqu’en descendant de la Plaine des Cafres après le boulot, la mer paraissait un peu moutonneuse. Finalement, il n’y avait pas plus de grosses vagues que ça. Ce qui n’est pas plus mal, parce que les embruns sur le filtre c’est souvent pénible. Pas d’embruns certes, mais de temps en temps, il y avait des petites averses. Ce qui n’est pas mieux.
Le temps est assez capricieux en ce moment, surtout du côté du Sud. C’est normal, c’est bientôt l’hiver.