Les phasmes sont réputés pour leurs aptitudes étonnantes à se fondre dans le décor végétal.
Malgré leur camouflage naturel, la rare observation du grand phasme vert de la Réunion, résulte du croisement de deux trajectoires : celle de l’observateur et celle de l’insecte.
Ce chipèque-bâton (c’est son nom créole) se complaisait en bordure de chemin, en forêt… Il a dû être saisi par la fraîcheur polaire des Hauts.
C’était il y a une dizaine de jours…
p.s. oui, oui, il est bien endémique !